Une belle occasion se présentait cette semaine à la CAPEB pour promouvoir les petites entreprises de l’artisanat du bâtiment et leur place essentielle dans la rénovation énergétique des logements.

La CAPEB participait ainsi aux Renodays les 12 et 13 septembre à la Porte de Versailles à Paris, pour réaffirmer fortement qu’elles sont leaders de ce marché et pour affirmer qu’elles sont incontournables pour continuer à le développer de par leur nombre, leur présence partout sur le territoire, leurs compétences, leurs capacités à innover, à transmettre leurs savoir-faire, etc. Il s’agissait également de défendre nos idées pour lever les freins au développement de la rénovation énergétique et de rappeler notamment nos 15 propositions.

Le Président de la CAPEB les a, à nouveau, répétées lors de la keynote d’ouverture où il s’exprimait aux côtés des principaux acteurs de la rénovation énergétique : Anah, Action Logement, Architectes, mais aussi Fondation Abbé Pierre et Saint Gobain. Jean-Christophe Repon a martelé la nécessité de simplifier les dispositifs pour permettre au plus grand nombre d’entreprises artisanales du bâtiment d’accéder à ce marché, tout en assurant des travaux de qualité avec un contrôle de conformité a postériori systématique (comme c’est le cas au Consuel pour toutes les installations électriques).

Il est revenu également sur l’absolue nécessité de réduire le reste à charge des ménages qui, a défaut, ne pourront pas engager des travaux. D’autant que les évolutions envisagées pour MaPrimeRénov’ réorientent largement les aides vers les rénovations globales alors que les ménages optent massivement pour des rénovations par geste, moins coûteuses et plus faciles à gérer sur le plan matériel. Une préférence nettement confirmée par les derniers chiffres de l’Anah qui révèlent que 34 122 rénovations globales de maisons individuelles ont été financées en 2022 par MaPrimeRénov’ alors qu’il y en avait eu 41 219 en 2021. Une baisse de 17 % donc ! Une progression toutefois inverse est observée dans les copropriétés (25 938 vs 11 891) mais les conditions de financement et de réalisation des travaux sont différentes dans ce cas.

Cessons de plomber l’activité des petites entreprises avec des règlementations étriquées et pénalisantes ! Libérons leur potentiel ! Outre les passoires thermiques (plus de 5 millions de logements), tout le parc devra atteindre la classe énergétique A ou B d’ici 2050 c’est-à-dire qu’il reste 35 millions de logements à rénover en 27 ans…Comment réussi ce challenge si la règlementation demeure compliquée et repoussante au point que seules 60 000 entreprises sont aujourd’hui labellisées RGE et donc aptes à intervenir sur ces chantiers, alors qu’elles sont 622 000 à pouvoir potentiellement le devenir ! Il est urgent de changer les règles du jeu !

David Morales et Jean-Claude Rancurel, qui animaient chacun leur tour une conférence sur le thème « En quoi la réglementation peut bloquer les énergies pour relever le défi de la rénovation énergétique » ont aussi insisté sur la complexité des dispositifs.

Les mises en garde et les propositions de la CAPEB au sujet de la REP ont également été mises en valeur les 2 jours dans le cadre d’un atelier animé par Jean-Yves Labat qui a expliqué les points non résolus de la mise en œuvre de la REP et ceux que la CAPEB défend âprement pour éviter que le dispositif ne se transforme en une usine à gaz coûteuse pour les petites entreprises.

Renodays aura aussi été l’occasion de battre en brèche l’idée selon laquelle les artisans du bâtiment ne sont pas suffisamment compétents.

Les questions de formation ont été évoquées par Laure Vial dans le cadre d’un atelier qui lui a permis de rappeler le rôle majeur des professionnels dans la révision des diplômes et leur adaptation aux besoins en compétences en matière de transition énergétique. Elle a également pu souligner l’investissement de la CAPEB dans la promotion des métiers et de la petite entreprise du bâtiment qui a tant de points communs avec les aspirations des jeunes générations.

Les Renodays ont ainsi été l’occasion de valoriser la CAPEB et ses actions auprès des adhérents franciliens qui avaient été invités par les deux CAPEB de la région ainsi qu’auprès des entreprises non adhérentes dans le cadre de notre campagne dédiée à la mesure de la représentativité. Les couleurs de cette campagne habillaient d’ailleurs le stand et la documentation qui y était diffusée.

La semaine s’est poursuivie avec la compétition des WorldSkills à Lyon où la CAPEB assurait une présence inédite sur laquelle nous reviendrons largement dans notre prochain numéro.

Jean-Yves Labat, chef de file du dossier de la REP pour la CAPEB, a présenté un état des lieux de la mise en œuvre de la REP et répondu aux questions des visiteurs dans le cadre d’un atelier dédié au sujet. Il a rappelé les objectifs du dispositif : améliorer le réemploi, la réutilisation et le recyclage des déchets du bâtiment et limiter leur dépôt sauvage. Sur le principe du « pollueur payeur », la REP organise le financement de la gestion des déchets du bâtiment par ceux qui mettent les matériaux sur le marché au travers d’une éco contribution. Mais le démarrage est difficile. Comme l’avait craint la CAPEB, la REP a été lancée sans être prête. Les points de collecte restent peu nombreux en 2023 et sont assurés presqu’essentiellement des distributeurs qui ne reprennent pas tous les déchets, la collecte directe en entreprise et/ou sur chantier, reste compliquée à organiser et les entreprises artisanales qui fabriquent et qui doivent adhérer à un éco organisme doivent faire face à des complexités administratives pour déclarer leurs fabrications. Jean-Yves Labat a rappelé que la CAPEB discute avec les Collectivités pour que leur déchèterie fasse partie du maillage territorial de la REP. Elle échange également avec les éco-organismes pour multiplier ces points de collecte et créer des règles de collecte adaptées aux quantités de déchets des entreprises artisanales. Elle travaille également avec Qualitel afin de développer une appli spécifique aux artisans leur permettant de déposer leurs déchets dans les points de collecte quel que soit l’eco-organisme associé et d’estimer leur quantité de déchets pour être conformes à la règlementation. Elle intervient enfin auprès des Pouvoirs publics pour réduire le champ des entreprises obligées d’adhérer à un éco-organisme et pour simplifier le bordereau de dépôt des déchets qui n’est pas encore publié.

La Cheffe de file Compétences et Formation de la CAPEB Laure Vial a pu porter les grandes priorités de la CAPEB en matière de compétences aux côtés de la Commissaire du Gouvernement à l’OPCO Constructys et de la pilote du programme FEEBAT. Leurs échanges ont mis en évidence que l’attractivité et la formation sont des clés importantes pour développer la rénovation énergétique. Laure Vial a souligné combien la rénovation énergétique est un enjeu très important pour la société qui implique des compétences et des embauches. 200 000 postes sont à créer d’ici 2030. 90 % des logements existants seront à rénover dans les 3 prochaines décennies, donc le chantier est d’ampleur. Elle a relevé que l’évolution des techniques, des normes et de la réglementation dictent les besoins en compétences et donc en formation, tout en rappelant que les artisans du bâtiment ont toujours su s’adapter. « Ils ont apporté l’eau, les sanitaires, l’électricité et maintenant ils assurent la rénovation énergétique des logements ». Elle a souligné que les préoccupations environnementales et la manière dont les entreprises artisanales du bâtiment y répondent sont un réel facteur d’attractivité que la CAPEB met en évidence dans ses actions, notamment lors des opérations artisans messagers. Elle a rappelé que beaucoup d’autres caractéristiques de la TPE du bâtiment correspondent aux aspirations de la génération Z, comme la CAPEB l’a expliqué dans son livre blanc « les entreprises artisanales du bâtiment et la génération z, un duo gagnant » et comme elle le montre dans les vidéos que nous avons réalisées avec un Youtuber auprès de jeunes salariés du bâtiment. Laure Vial a par ailleurs rappelé que les artisans élus de la CAPEB contribuent massivement à la révision des diplômes, notamment pour leur intégrer les dimensions environnementales et numériques. La CAPEB a œuvré pour que la rénovation globale soit intégrée dans la rénovation des diplômes afin qu’elle fasse partie des enseignements de base. Laure Vial a également rappelé que la CAPEB a signé un accord de partenariat avec le CCCA-BTP pour répondre aux besoins des jeunes comme des entreprises.

Le vice-président en charge des questions économiques David Morales et le Président des Métiers de la Couverture et Plomberie Chauffage ont l’un le mardi, l’autre le mercredi, animé un atelier qui a permis de mettre en évidence que la réglementation peut bloquer les énergies pour relever le défi de la rénovation énergétique.

Ils ont fait observer à cette occasion que, quel que soit le domaine, les règles alambiquées et complexes sont trop souvent des éléments bloquants. « il est plus facile de jouer aux dames qu’aux échecs, de même qu’il est plus facile pour un profane de comprendre et de suivre un match de foot qu’un match de rugby. Ainsi, présenter un dossier Qualibat ou Qualit’Enr pour acquérir une qualification RGE n’est pas vraiment facile pour un artisan” ont-ils souligné.

Les différents types de contrôle, les règles diverses selon qu’il s’agit du RGE, de MaPrimeRénov’ ou des CEE complexifient les choses et finissent par décourager.

D’où les propositions de la CAPEB pour simplifier les dispositifs. Ils ont, l’un et l’autre, déploré que rien ne change malgré les alertes répétées de la CAPEB devant le découragement des artisans face à ces règles pointilleuses et instables.

Cette complexité entraine des retards de paiement mais n’empêche pas les fraudes.

Ils ont exprimé leurs craintes face aux évolutions annoncées du dispositif MaPrimeRénov’ qui risquent d’être contreproductives et qui restent à préciser, notamment pour ce qui concerne le volet « performance ».

Donc effectivement, la réglementation peut ralentir et bloquer le défi de la rénovation énergétique et la CAPEB ne cesse de le répéter et de porter ses 15 propositions pour y remédier !

A l’issue de la conférence d’ouverture des Renodays, le Président de la CAPEB a donné une interview à France inter sur la crise de la construction neuve puis à Radio Immo où il a pu revenir sur les principales propositions que la CAPEB fait en faveur d’une dynamisation de l’activité des entreprises artisanales du bâtiment en rénovation énergétique : GME, parcours de travaux, lutte contre la fraude et surtout simplification des dispositifs RGE, MaPrimeRénov’ et CEE. A entendre ici.

Juste avant l’inauguration du salon Rénodays, le Président Jean-Christophe Repon a reçu la Ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher, sur le stand de la CAPEB pendant un long moment. Une occasion de lui rappeler nos 15 propositions et d’insister sur la nécessité d’agir pour lever les blocages au développement de la rénovation énergétique.

Le lendemain, Corine Postel, Christophe Bellanger et Gilles Chatras ont accueilli sur le stand Jean-Marc Zulesi, Président de la Commission du Développement durable de l’Assemblée nationale qui était accompagné de la députée de l’Isère Marjolaine Meynier-Millefert. Ils sont restés un bon moment à écouter les points sur lesquels la CAPEB compte sur leur soutien lors de l’examen du projet de loi de finances : GME, TVA à taux réduit, correction des évolutions prévues pour MaPrimeRénov’, etc. Le député Zulési a fait preuve d’une grande écoute et a souhaité rencontrer rapidement le Président confédéral pour approfondir ces sujets. Juste avant de quitter le stand, il a accepté d’enregistrer une courte interview que vous pouvez voir ici.

Jean-Yves Labat, accompagné de Gilles Chatras et Jean-Claude Rancurel ont accueilli Lionel Causse, Député des Landes et Président du Conseil National de l’Habitat qui a bien compris l’ensemble de nos propositions et qui s’est montré également très ouvert aux problématiques de la mise en place de la REP.

En tant que négociateur de l’U2P, Jean-Christophe Repon a repris les négociations paritaires sur l’Agirc-Arcco avec, en particulier, l’objectif de définir la valeur de service et d’achat du point à compter du 1er novembre 2023. Il s’agit aussi de définir les orientations stratégiques du régime d’ici à 2024 en tenant compte des dernières évolutions liées à la réforme des retraites.

Pour la première fois, la CAPEB participait aux finales nationales des WorldSkills à Lyon en cette fin de semaine avec un stand vivant où une maison de 64 m² était construite « en live » avec les jeunes visiteurs, les apprentis, les Présidents de Métiers et des conseillers professionnels.

Le Président confédéral a été sollicité à plusieurs reprises pour des visites officielles à commencer par la visite inaugurale ce jeudi matin. Jean-Christophe Repon accompagnait ainsi les ministres Carole Grandjean (formation professionnelle) et Jean-Noël Barrot (Numérique). Jean Castex est également passé sur le stand.

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La CAPEB avait convié sur son stand aux Renodays les start-ups qui avaient présenté leur solution “gain de temps” lors des JPC de Lille. Trois d’entre elles ont pu participer cette semaine.

Un point presse a été organisé le 12 septembre dans le but de présenter à nouveau le programme d’Open Innovation mis en place par la CAPEB et Impulse Partner dans le but de rapprocher les entreprises artisanales et les start-ups.

Deux d’entre elles ont témoigné de leur motivation et des raisons pour lesquelles elles ont décidé de participer à ce programme. Notim et Wisebim ont, l’un et l’autre, constaté que les échanges avec les entreprises étaient une source d’inspiration pour adapter leurs solutions à la réalité quotidienne des entreprises.

Trois administrateurs - David Morales, Yann Danion et Thierry Ravon - ont également apporté leur témoignage tant sur l’intérêt de ce programme que sur celui des solutions proposées par les start-ups.

La Ministre de la Transition énergétique est intervenue en ouverture du forum Rénodays pour saluer l’effort unanime de la filière pour booster la rénovation énergétique, un « sujet citoyen » a-t-il déclaré qui nécessite de rendre les solutions visibles pour tous.

Elle a rappelé que le bâtiment représente 18 % des émissions de gaz à effet de serre, dont les 2/3 proviennent des logements. Le challenge est donc considérable. Mme Pannier-Runacher a également fait observer que vivre dans une passoire thermique coûte beaucoup plus cher que vivre dans un logement correctement isolé et chauffé. Il y a donc un enjeu économique et social très fort.

Elle est venue également sur le terrain de l’emploi, rappelant que les besoins pour mener à bien cette transition énergétique sont évalués à 200 000 sans parler de la fabrication des équipements comme les PAC dont la fabrication en France s’inscrit dans l’enjeu de la réindustrialisation du pays.

La Ministre a déclaré que l’Etat prendra ses responsabilités en mettant en place des accompagnateurs Rénov’ pour aider les ménages à monter leurs dossiers administratifs et de financement, pour augmenter l’enveloppe disponible à l’Anah afin d’atteindre 4 Mds dédiés à la rénovation énergétique et pour revoir les barèmes afin de mieux aider les ménages tout en appelant les établissements bancaires à se mobiliser pour que les ménages modestes aient accès à la rénovation et aux éco-PTZ.

Elle a aussi souligné la nécessité d’instaurer la confiance afin que les ménages n’hésitent plus à s’engager dans des travaux. « Je serais intraitable pour lutter contre la fraude qui porte préjudice au travail des professionnels. L’Anah va déployer une nouvelle campagne d’information aux ménages pour créer les bons réflexes face aux chasseurs de primes » a-t-elle affirmé en ajoutant que les contrôles seront renforcés de 40 % en 2024.

Le Président confédéral a tenu vendredi dernier un webinaire à l’attention de l’ensemble du Réseau pour faire un état des lieux des travaux menés dans le cadre du plan de transformation CAP CAPEB.

Après un petit quizz permettant de mesurer la connaissance que chacun a du projet, un rappel a été fait des 35 chantiers du plan qui impactent l’ensemble des structures du Réseau à tous les niveaux puisqu’ils portent sur différentes thématiques qui concernent tout le monde : le marketing, les métiers, la capitalisation et les process de fonctionnement avec le repérage de compétences, la communication à tous les niveaux de la CAPEB et sur tous les supports.

L’humain est au cœur du projet CAP CAPEB. 41 élus et collaborateurs du Réseau y contribuent. Le plan CAP CAPEB est venu se greffer sur le quotidien de chacun mais la dynamique et la volonté de chacun de faire avancer les choses prévalent à la surcharge de travail. 20 chantiers ont été lancés sur 35 et 5 sont terminés ou très avancés (Création de la Direction marketing et développement, le repérage des compétences, l’identification des artisans sachants, l’évolution du Bâtiment Artisanal et le partage des bonnes pratiques et des initiatives du Réseau.

Depuis que le chantier portant sur la réforme de la CNAGS a été démarré, les 2 CNAGS de 2023 ont expérimenté de nouvelles idées à commencer par l’envoi d’un questionnaire en amont des réunions permettant de choisir 3 thèmes parmi une dizaine pour conduire un débat d’actualité. Dans le cadre du chantier 11, a été mis en place, d’ores et déjà la communauté des communicants qui a pu bénéficier d’un transfert de connaissances et de compétences des deux communautés existantes au sein de la Direction Compétences et Formation.

Les chantiers 14 et 16 visant à mieux coordonner nos actions de communication, permettent par ailleurs de travailler à une méthodologie associant effectivement l’ensemble du réseau. Premier exemple très concret, l’élaboration de la campagne de communication 2023 dont le premier volet a été dédié, au printemps, à accroître la notoriété de la CAPEB en proximité. La communauté des communicants a été intégrée à l’ensemble de ce travail et a permis de faire un bilan de ce premier volet pour pouvoir l’ajuster et être encore plus performants sur le temps 2. En l’occurrence, le besoin d’une action plus commerciale et plus offensive a été exprimé, ce qui a été fait avec la nouvelle Direction Marketing et Développement. A signaler également que la communauté des chargés de développement est en préparation.

Le Plan de transformation se poursuit tout d’abord dans le but d’achever les chantiers déjà lancés et ensuite de lancer les derniers. Un point régulier est fait au travers des newsletters adressées au Réseau et des comités de pilotage qui précèdent ces envois.

L’ensemble des Secrétaires généraux départementaux et régionaux ont été réunis mercredi à la Confédération pour faire un point sur l’activité et ses perspectives, évoqué les Assises du BTP, la réforme de MaPrimeRénov’ et l’évolution du RGE. Etaient également à l’ordre du jour le programme OSCAR, le dispositif des certificats d’économies d’énergie. Les actualités sociales, avec les négociations paritaires en cours et la question de la représentativité ont suivi dans les échanges ainsi que la mise en place de la REP. Du côté des questions internes au Réseau, plusieurs sujets avaient été portés à l’ordre du jour : la campagne de communication, le plan de transformation CAP CAPEB, les grilles d’auto-évaluation et les évolutions futures dans Isabat et le CRM E Deal.

Fabrice Hiraux a pris les fonctions de Secrétaire général de la CAPEB de l’Oise le 1er septembre. Il remplace Stéphanie Harrel. Qu’il soit le bienvenu !